Difficile à dire mais quelque chose cloche et tout n’est pas fluide narrativement. Le film est ciselé pour nous faire sentir cela : un montage dynamique, une pression constante, des répliques au cordeau et des acteurs vraiment impliqués. Aaron Sankin s'empare d'un sujet réel ppour dénoncer dans un quasi huis clos judiciaire les procès politiques. Et sur ce point, le brûlot de Sorkin rappelle un peu le documentaire tricolore Un pays qui se tient sage (réalisé par David Dufresne) sorti fin septembre. Communiqué de presse - Les Sept de Chicago: Le procès de huit hommes accusés de conspiration lors de la Convention démocrate de 1968. La Presse. D'emblée la mise en scène donne le rythme du tourbillon historique et émotionnel auquel les personnages ont été confrontés lors des événements narrés dans ce pamphlet parfois trop didactique même si les motivations voire les agissements des accusés demeurent parfois flous voire discutables: innocents sans être déchargés de toute responsabilité. [...] La politique se niche parfois dans les détails, le génie d’Aaron Sorkin aussi. Difficile d'ailleurs de ne pas voir les rapprochements entre Baron Cohen et feu Abbie Hoffman, qui ont l'un comme l'autre choisi de provoquer pour réveiller les consciences. La maîtrise et le talent de Sorkin demeurent déconcertants. Un des meilleurs films de l’année 2020 et un concurrent sérieux pour les … Lire ses 688 critiques, Suivre son activité C'est un film sage et gentil comme les personnages de Remayne et Gordon-Levitt et donc insupportable. Toutes les différentes gauches de l’Amérique se sont donné rendez-vous (les Black Panther, la "coalition nationale anti-guerre", le "Youth International Party" un parti politique anti-autoritaire & libertaire et même les hippies !). Un scénariste de génie, l’un des plus influents d’Hollywood (les séries À la Maison Blanche et The Newsroom, les scénarios de Des hommes d’honneur de Rob Reiner, The Social Network de David Fincher ou encore Steve Jobs de Danny Boyle). 41 abonnés Une manifestation en marge d’une Convention démocrate à Washington conduit à un affrontement violent entre la police et les différents groupes d’opposants réunis. Les Sept de Chicago. On retrouve dans ce film tout ce qui fait la réussite des oeuvres de son auteur : des dialogues en rafale, un rythme mené tambour-battant ainsi qu'un propos pertinent. Ex. Le film est passé directement sur Netflix. Lire ses 302 critiques, Suivre son activité « Les Sept de Chicago » est un grand film de procès captivant porté par des dialogues exceptionnels et des comédiens fabuleux. : Aaron Sorkin, le brillant scénariste ayant notamment écrit "The Social Network", réalise "Les Sept de Chicago" pour Netflix, film racontant le procès de sept personnages ayant participé à des émeutes contre la guerre du Vietnam en 1968 à Chicago. Parmi les activistes arrêtés (accusés de conspiration & d’incitation à la révolte), sept se retrouveront devant le juge (John Froines, Lee Weiner, David Dellinger, Rennie Davis, Tom Hayden, Abbie Hoffman & Jerry Rubin). Soit la période où le pays fut le plus déchiré...ex æquo avec l'actuelle. Pourtant "Les Sept de Chicago" est le genre de grand drame judiciaire, capable de faire vibrer une salle et de concourir aux Oscars. Brillant et percutant. Besoin de vous faire un dessin ? Avec sa distribution de haut vol, rarement on aura vu un long-métrage dont le découpage scénaristique et visuel frôlent la perfection. Un film crucial, magnifiquement écrit, réalisé et mis en scène, à voir absolument donc. Vraiment pas ! Lire ses 3 777 critiques, Suivre son activité Sorkin n'a même pas repéré les grands moments forts de son récit, c'est une tragédie de voir ce film. Les evenements se sont déroulés aux Etats Unis il y a de celà 50 ans mais le sujet (notamment manipulation des faits, intimidation des suspects) reste malheureusement toujours d'actualité. Comme aujourd'hui, les motifs de contestation regroupent plusieurs courants : anti-guerre, hippies, progressistes, mouvements des droits civiques. Sorkin voulait tellement faire un film dans l'air du temps qu'il en a juste oublié qu'il fallait un réel traitement politique et pas juste une suite de péripéties... Mention spéciale à l’hilarant passage d’un ex-Batman. Rappel des troupes : Aaron Sorkin, l'un des grands scénaristes contemporains : The Social Network, Steve Jobs, la série À la maison-blanche (Merci, bisous). La force première de « Les Sept de Chicago » demeure en toute logique les dialogues ciselés et impeccablement mis en bouche de Sorkin notamment lors des joutes verbales au sein du tribunal. 48 abonnés On connaissait depuis longtemps Aaron Sorkin en tant que virtuose de l'écriture. Lire ses 6 149 critiques, Suivre son activité Aidé par un casting exceptionnel, et ayant certainement appris de ses erreurs depuis Le Grand jeu (voir notre critique), le réalisateur ne fait pas dans la surenchère, offrant alors un récit relativement sobre et vraisemblable. https://www.allocine.fr/film/fichefilm-130085/critiques/presse 2667 abonnés Tu prends un bon acteur et tu le fais raconter comment les policiers ont caché leur nom, leur insigne pour pouvoir les frapper sans avoir de répercution, tu prends un bon acteur (pas Redmayne donc), la salle (de cinéma et du tribunal) a le sang glacé. Grand film sur l'engagement politique, «Les Sept de Chicago» est aussi et surtout un plaidoyer pour la liberté d'expression. 74 abonnés Le récit est plutôt bien construit, centré sur le procès avec quelques flash-backs sur les émeutes. 23 abonnés Il y a les accusés, leurs avocats, les politiques et les juges qui jouent tous un rôle plus ou moins pivot mais auxquels le peu de temps imparti leur confère parfois juste un emploi fonctionnel. Avec autant de têtes d’affiche, il était évident que l’ensemble allait faire des étincelles. Il fallait qu'il sorte. Ces quelques minutes font le portrait des futurs accusés, tout en retraçant l’entrée en … 87 abonnés La reconstitution historique de ce thriller politique se révèle passionnante, tout comme ses interprètes. D'ailleurs dès le début Gordon-Levitt bien que procureur (et donc du côté de l'état dans le procès qui vise à condamner des manifestants contre la guerre du Vietnam) est montré comme un bon gars qui fait son devoir mais qui croit en l'innocence des gens qu'il doit condamner. La Critique de Les Sept de Chicago : Développé sous pavillon Paramount, Les Sept de Chicago a finalement été racheté par Netflix qui, disons-le d’emblée, s’est payé là l’un des meilleurs titres de son catalogue. Les services AlloCiné | Les services AlloCiné | : Gagarine, The Nest, Falling. Sorkin n'ose pas faire durer ses séquences, tout va très vite (et tout se ressemble un peu), alors qu'une construction plus audacieuse aurait été d'axer vraiment le film sur des moments précis du procès. Ceci étant dit, parvenir à faire un nouveau film américain sur la guerre du Vietnam qui ne soit pas du multi-déjà-vu, c'est un exploit en soi. Contact | Les Sept de Chicago a donc une signification particulière, d'autant plus que le scrutin présidentiel s'ouvre dans quinze jours. Là il n'y a aucun suspens, on sait qu'ils vont perdre. On voit clairement que le film est fait pour plaire, quitte à donner dans le bon sentiment (le discours final, les épilogues) ou quelques entorses à la réalité, mais cela ne gêne pas vraiment le visionnage, on aurait même préféré qu'il aille plus loin dans le drama, car c'est parfois trop propre (le démarrage laborieux et le personnage Black Panther dont on ne fait rien), car les acteurs sont bons sans pouvoir tirer leur épingle du jeu (peut-être Sacha Baron Cohen, qui s'amuse bien dans son rôle, étant le plus intéressant des sept accusés), et l'on se questionne carrément sur le titre "film à Oscars" que l'on voit fleurir un peu partout. Dernier gros point fort de Les Sept de Chicago, son casting. Mise en scène, dialogues, interprétations, tout est au top ! Remarquablement écrit formidablement construit , doté d'un casting irréprochable, le cinéaste, jusqu'alors peu convaincant, signe pour le support Netflix un deuxième long métrage plus convaincant. "Les Sept de Chicago" est un grand film de procès (et de justice) porté par un montage fabuleux et le scénario électrisant de Sorkin. La puissance des dialogues, de l’histoire évoquée et une distribution royale sont les forces de ce film politique et enflammé. Il noircit les pages du script et fait chauffer la caméra ici. En France, le site Allociné recense une moyenne des critiques presse de 4,3 ⁄ 5, sur un total de 6 critiques presse. Finalement, après moult péripéties, on en est arrivé à nommer le scénariste réalisateur du film et à caster d'autres acteurs, pour un film plus ambitieux. Les Sept de Chicago, un film de Aaron Sorkin | Synopsis : Le procès des manifestants lors du Congrès de l'assemblée Nationale de Chicago en 1968, une date importante dans l'histoire des Etats-Unis. T 82%. On aime beaucoup. Rassurez-vous, les interprètes pallient cette faiblesse à merveille. Aaron Sorkin offre des dialogues d'un rythme et d'une justesse folle. Will Smith et Heath Ledger étaient alors pressentis. Le pays est à fleur de peau, entre l’assassinat de John Fitzgerald Kennedy (en 63), celui de Martin Luther King (en 68) & Bobby Kennedy (quelques mois plus tard), ajoutez à cela, la guerre du Vietnam qui divise de plus en plus le pays, entre ceux qui sont appelés au front et ceux qui y échappent (les privilégiés). Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Un film d'autant plus génial dans sa réalisation qu'il consiste essentiellement en un huis clos de prétoire ! Déstabilisé comme tout le monde par l'apparition d'un certain virus qui paralyse l'industrie, notamment les exploitants de salles, le nouveau film de Aaron Sorkin devait être vu cet automne. Ce genre de film, il en existe des dizaines chaque année, mais de ce niveau-là ils sont très rares. Le cinéaste fait un feu d’artifice de points de vue, démontrant que l’altérité demeure toujours une force, surtout dans un même camp. La beauté du film réside d’abord dans la circulation de la parole et la manière dont celle de chaque … Quoiqu'il arrive. Quand la justice n'est que parodie, quand les accusés ne sont que des exemples dissuasifs que l’État veut donner, quand la liberté d'expression (le fondement même d'une démocratie) est bafouée : voici Les Sept de Chicago. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute), Avec Lire ses 1 669 critiques, Suivre son activité Aaron Sorkin signe un manifeste politique brûlant et brillant, grâce à des dialogues acérés, un montage astucieux et un humour bienvenu. Devant ce nouvel essai, on peut regretter que Sorkin n'ait pas abandonné cette place à un cinéaste plus inspiré - le film souffre d'un certain classicisme, même si l'interprétation est brillante -, mais ce que l'on perd en effet de mise en scène, on le gagne certainement en intégrité et en complexité narrative. Drame. Ici non, on a une pauvre séquence avec un filtre dégueu sur l'image qui dure 20s et c'est fini. Les Sept de Chicago relate l’histoire du procès de sept organisateurs de manifestations contre la guerre du Vietnam à l’origine d’affrontements contre la police en 1968. Les jeunes se rebellent contre les institutions et le gouvernement, un climat insurrectionnel se fait ressentir et c’est clairement cela que nous fait ressentir le film (d’ailleurs, ce contexte si particulier est aussi palpable à l’étranger, pour preuve, le mouvement de Mai 68 en France). Ainsi on se retrouve avec Sacha Baron Cohen en hippie excentrique qui provoque le juge (et qui n'apporte quasiment rien de plus)... Il vient faire le clown quoi. L’occasion de découvrir les méandres judiciaires et politiques ayant… Sorkin se garde bien de généraliser cette corruption à tous les niveaux, mais le constat atteint comme une décharge en plein cœur : 5 décennies plus tard, même combat. Avec Les Sept de Chicago est un projet de longue date qui reposait depuis longtemps dans la tête d’Aaron Sorkin. Le film pointe aussi les dysfonctionnements de la justice américaine de l’époque qui existent encore aujourd’hui. C’est donc assez intéressant sur le fond et on peut faire d’intéressants parallèles contemporains. Revue de presse | Le cinéaste mène son procès sans aucun temps mort, tout en restant extrêmement minutieux sur les faits. C’est Michael Keaton qui en quelques scènes salvatrices remporte le morceau mais surtout Franck Langella en juge désagréable et sensiblement corrompu qui nous marque le plus. Malheureusement cet exemple est reproductible pour tous les personnages (enfin ceux qui existent, il y en a qui sont justes inexistants, on voit de temps en temps leurs têtes mais c'est tout), ils sont monomaniaques. Disponible sur Netflix depuis le 16 octobre dernier, Les Sept de Chicago (The Trial of the Chicago 7 en VO) revient sur l’affaire et le procès des « Chicago Seven » à la fin des années 1960. Lire ses 1 037 critiques, Suivre son activité Un uppercut. 44 abonnés Du début à la fin j'ai été plongé, avec les personnages du film, dans cette injustice. De plus, il y a beaucoup de personnages et les deux heures du film ne permettent pas de bien les cerner tous comme il le faudrait pour qu’on s’y attache. S'ils sont tous à féliciter pour ces joutes (la valeur ajoutée de Sorkin), Sacha Baron Cohen et Mark Rylance sont à mes yeux les plus impressionnants du lot. Sorti en 2020, "Les Sept de Chicago" revient sur le retentissant procès des sept prévenus suite à la manifestation de 1968 lors de la convention démocrate. Aaron Sorkin propose un long-métrage très réussi qui fait cruellement écho à l'actualité politique, très enflammée par ses injustices et ses débats idéologiques, qui ne manquera pas de questionner le système judiciaire des États-Unis en mettant en image ses dérives. En 1968, à Chicago, lors de la convention chargée de désigner le candidat démocrate de la prochaine élection présidentielle, des manifestants pacifistes venus d’horizons différents se réunissent pour protester contre la guerre du Vietnam. Et le film appuie singulièrement sur l'acharnement écœurant du FBI à condamner ces pacifistes, afin que les jeunes continuent de s'engager (tirés au hasard comme des lots à gagner) dans une guerre ignoble. Le tout est emballé avec la ferveur qu'on attendait, même si le scénariste/metteur en scène n'a ni la maestria d'un David Fincher ni l'effervescence d'un Danny Boyle. Lire ses 1 922 critiques, de Les « 7 de Chicago », c’est le récit d’un procès forcément politique avec un juge partie prenante pour un ordre social suranné qui n’hésite pas à faire ligoter et bâillonner Bobby Seale aux yeux de tous dans le tribunal sans comprendre à quel point cette violence est devenue insupportable devant une forêt de caméras et de micros prêts à en témoigner. Le maire sait ce qu’il l’attend et se prépare à faire face aux manifestants en y déployant près de 12000 officiers, plus de 5000 membres de la garde nationale & 5000 soldats. Depuis quelques années, la condition des afro-américains est largement évoquée au cinéma. Mais la grève des… Vladimir Orlowski, Par les membres ayant fait le plus de critiques, Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs, Les meilleurs films de tous les temps selon la presse, OSS 117: Alerte rouge en Afrique noire Teaser VF. Aaron Sorkin avait écrit la première version de son script en 2006 suite à une visite chez Steven Spielberg qui se disait intéresser par l'histoire. Ce film sous forme de procès qui a pour héros les sept "chefs" des associations de refus d'engagement dans la guerre du Vietnam (les étudiants, les yippies...) nous met vite dans sa poche : casting alléchant (Mark Rylance, Eddie Redmayne, Sacha Baron Cohen, Joseph Gordon-Levitt...) mêlé à un procès totalement inégalitaire, truqué et fondamentalement injuste. 1785 abonnés Espérons qu'un film comme Les Sept de Chicago parvienne au moins à remettre en lumière ces symboles qui ont fait de leur contestation un acte patriotique par excellence. Et le pire reste je pense la construction du film avec trois temporalités différentes avec le procès, Sacha Baron Cohen qui raconte le procès et des analepses racontant pourquoi ils sont jugés. Peut-être qu’un montage chronologique et des retours en arrière auraient été plus indiqués ? Totalement maître de son sujet, Aaron Sorkin, en racontant l’histoire des Sept de Chicago, fait se télescoper les époques et offre à la notre l’un de ses films les plus éloquents. Malgré la bonne mouture et le grand plaisir éprouvé à découvrir ce fait important (méconnu en France), on ne voit pas bien en quelle catégorie ce film pourrait concourir : tout est absolument académique, aucune prise de risque quelle qu'elle soit. Un film poli et chargé à blanc. En fait aucun des personnages n'existe vraiment, ils ont beau se chamailler un peu sur les différents types de révolution ça reste tous des patriotes américains qui ne proposent aucune réflexion vraiment profonde sur la société américaine et sur le pouvoir en place. Gagarine, The Nest, Falling, Suivre son activité Et que dire du juge est une caricature de juge malveillant. Données Personnelles | Original, Les Sept de Chicago aborde un sujet sérieux, grave, mais il le fait avec un humour injecté d’un sens mordant de la dérision mettant en exergue le pas drôle mais presque d’un épisode plein d’ironie. The Trial of the Chicago 7 est essentiellement un drame judiciaire, qu’Aaron Sorkin ponctue de retours en arrière et, parfois, de vraies scènes d’archives. La beauté du film réside d’abord dans la circulation de la parole et la manière dont celle de chaque accusé [...] se diffuse dans l’espace des autres, comme la découverte d’un secret. Et sur la durée du film, sans s’ennuyer pour autant, difficile d’être totalement captivé et de trouver « Les Sept de Chicago » très palpitant. LA CRITIQUE Faire un film sur le procès des Sept de Chicago remonte a plus de dix ans. L'un des meilleurs films de 2020 ? Lire ses 922 critiques, Suivre son activité Malheureusement, la pandémie est passée par là et la sortie en salles ne verra jamais le jour. Il y a aussi des scènes inutiles comme celles de stand-up avec Sacha Baron Cohen et un final pas aussi émouvant qu’il aurait voulu être. Un procès gigantesque (plus de 150 jours ! Pour son second essai derrière la caméra (et bien sûr il signe aussi lui-même le scénario), il s’intéresse au procès très médiatique des émeutiers de Chicago en 1968. Qui sommes-nous | A contrario, ce second long-métrage est très académique dans sa mise en scène, c’est un film de procès assez basique entrecoupés de quelques images d’archives pas toujours mises de manière adéquate. "Les Sept de Chicago" est sorti à pic pendant une période charnière des États-Unis. Publicité | Politique de cookies | Aaron Sorkin nous tient en haleine avec une certaine aisance, en grande partie grâce à cette histoire aussi vraie qu’effarante, avec des images d’archive qu’il égrène ici et là et un casting qui invite au voyage. ©AlloCiné, Retrouvez tous les horaires et infos de votre cinéma sur le numéro AlloCiné : 0 892 892 892 (0,34€/minute). Et aujourd'hui c'est pire ! Souvent très hilarant quand il s’envole dans cette ironie acerbe, le film de Sorkin n’en oublie pas de … Quelques scènes sont fortes en émotions, notamment la séquence finale, particulièrement bien écrite, mais qui n'est malheureusement pas exactement conforme à ce qui s'est réellement passé. L'avis de la communauté. Lire ses 979 critiques, Suivre son activité Sans que la mise en scène soit folle ou exceptionnelle, Sorkin m'a permis de ressentir ce que vivaient les 8 de Chicago durant un peu plus de 2h. Et sa tête de jeune premier n'aide vraiment pas à le considérer comme autre chose qu'une sorte de scout. Il n'y a aucune tension dans les échanges, ce ne sont même pas des joutes verbales. Parce qu’au-delà des faits historiques, le film aborde les violences policières à l’égard des jeunes, des noirs, des intellectuels, des pacifistes… en bref tout ce qui ne rentre pas dans l’étiquette traditionnelle républicaine. ), qui a réuni de grandes figures de la contestation contre la guerre au Vietnam et les discriminations et qui s'est révélé être un désastre. Qui sommes-nous | Lire ses 866 critiques, Suivre son activité Dommage toutefois que le personnage du procureur interprété par Joseph Gordon-Levitt (et dont on saisit pourtant des contradictions très intéressantes), demeure au second plan. https://www.allocine.fr/film/fichefilm-130085/critiques/spectateurs On a même du mal à bien retenir tous les prénoms des protagonistes. "Les Sept de Chicago" reste un film très intéressant, qui réussit à interpeller le spectateur. Tant pis. Diffusé sur Netflix, le nouveau film d'Aaron Sorkin évoque les tensions politiques et raciales aux Etats-Unis à la fin des années 1960. Alors je ne connais pas la vraie histoire, mais j'ai trouvé ça d'une paresse terrible. Des hommes de différents horizons et de formations politiques diverses (souvent assimilées à la gauche radicale) qui protestaient contre la guerre du Vietnam. 10 abonnés Données Personnelles | Au programme de La Critique cette semaine : le nouveau film d'Aaron Sorkin (scénariste de The Social Network de David Fincher, créateur de la série À la Maison Blanche) Les Sept de Chicago disponible sur Netflix (avec Yahya Abdul-Mateen II, Sacha Baron Cohen, Mark Rylance et Joseph Gordon-Levitt) et un état des lieux de … Aaron Sorkin est surtout connu pour ses scénarios malins et excellemment dialogués comme celui du biopic sur le créateur d’Apple, « Steve Jobs », mais surtout celui en or massif de « The Social Network », chef-d’œuvre incontestable de David Fincher. ► http://bit.ly/CinephileNostalGeek ★ http://twitter.com/B_Renger ◄. Outre sa dynamique et son appel à la réflexion, le film vaut par ses dialogues que le démentiel casting sert avec brio, chacun conférant du relief à son personnage, même si ceux d'Eddie Redmayne et de Sacha Baron Cohen sont logiquement mis en avant, deux faces d'une même pièce contestataire. Lorsque les accusés se retrouvent à dire "rejetée" à chaque fois que quelqu'un émet une objection car on sait par avance que le juge va rejeter l'objection, il n'y a rien qui se passe parce que la scène sert juste à faire cette blague. Je vous le disais en intro et je confirme : des premiers rôles aux derniers figurants, ils sont merveilleux. Porté par un casting cinq étoiles, où on retrouve notamment Eddie Redmayne, Mark Rylance, Joseph Gordon-Levitt, Sacha Baron Cohen et Michael Keaton pour un petit rôle. Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion. CGU | Et que son réalisateur n'a jamais caché ses prises de positions pro-démocrates. Les acteurs sont bons mais sans qu’il y ait de prestation mémorable. En dépeignant ce procès hors norme de l’intérieur, on y découvre les rouages du système et les inégalités qui émaillent cette justice à deux vitesses. Jason Statham, Jeffrey Donovan, Contact | Plus qu'une simple reconstitution historique, sa résonance avec l'actualité en fait d'ailleurs une oeuvre universelle et intemporelle d'autant plus marquante. Lire ses 1 317 critiques, Suivre son activité Il confirme qu’il est l’un des dialoguistes les plus doués de sa génération, les répliques fusant comme lors d’un match de ping-pong, délectables pour nos oreilles du début à la fin.
Résumé France Suède M6, Arnaud Duhamel Fils De Alain Duhamel, Coloriage Flash Mcqueen à Imprimer Gratuit, Le Petit Poucet Exploitation Maternelle, Tendance Bbq 2020, Bosnia Vs Latvia Basketball Lineup, Sa Femme Thomas Sotto Et Son épouse, Club Bfm Immo, Finlande Irlande Streaming,